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L'Étude de Marché : comment la culture influence le marketing

jeudi 22 mai 2025 à 19:29

Soumeya Hadji
Soumeya HadjiAuteur

Co-fondatrice de Pinstrap. J’aime les pixels bien placés, les mots bien sentis, et les concepts qui laissent une trace (dans la tête, pas dans l’atmosphère). Dotée d'un humour indéniablement violent, je vulgarise les sujets complexes pour que chacun, même le plus éclaté, comprenne les sujets relatifs à la com'/ marketing/ design/ tech etc. En gros je vous facilite la vie et vos projets de fac ou d'école de commerce.

L'Étude de Marché : comment la culture influence le marketing

Juste imaginez lancer un produit révolutionnaire, investir des millions en marketing, et... échec total. Pour la simple et bonne raison que vous avez ignoré l'étape cruciale, à savoir l'étude de marché. Vous pensez que c’est une formalité alors que c'est le GPS de votre stratégie commerciale. Sans elle, vous naviguez à vue, et les récifs sont nombreux.

Si l’on devait lister toutes les erreurs fatales commises par les marques au moment de se lancer sur un marché, ignorer l’étude de marché décrocherait sans effort la première place du podium. Elle a l’air sage, académique, presque optionnelle. Elle fait bâiller les directions artistiques et soupirer les fondateurs pressés. Et pourtant, c’est précisément elle qui peut faire la différence entre une entrée triomphale sur un nouveau marché… et un naufrage international. Ce n’est pas une étape "prévisionnelle", bien au contraire.

I. L’étude de marché dans sa globalité

A. 🎓 Définition semi-académique

L’étude de marché, c’est effectivement juste un chapitre chiant qu’on survole dans un PDF de business school.
C’est ce moment où tu te poses et tu demandes pas “qu’est-ce que j’ai envie de vendre”, mais plutôt “qu’est-ce que les gens ont besoin d’acheter, là, maintenant, et pourquoi ce serait moi plutôt qu’un autre ?”.
C’est l’art de t’arracher à ta tour d’ivoire de fondateur illuminé pour aller voir le vrai monde, celui qui scrolle, qui zappe, qui hésite à cliquer sur “ajouter au panier” parce que la flemme ou parce que t’as pas pigé son besoin.
Une vraie étude de marché, c’est pas un formulaire Google Forms balancé en story Insta mais en réalité une radiographie socio-culturelle de ton public, de son cerveau, de ses usages, de ses barrières. C’est un acte d’humilité, savoir que t’as rien compris tant que t’as pas écouté.

Bien menée, elle peut être l’une des étapes les plus excitantes d’un projet, parce que tu vas te connecter à la réalité. Tu ne vas plus seulement fantasmer ton audience, tu vas la comprendre.

B. ⚙️ Comment on fait une vraie étude de marché (et pas un brouillon Linkedin maquillé en insight) ?

Voici comment on la construit, sans bullshit, mais avec méthode. Premièrement, on définit l’objectif de l’étude. Avant même de sortir ton clavier, demande-toi ce que tu veux savoir. Est-ce que tu veux :

  • Tester l’appétence pour un nouveau produit ?

  • Identifier tes vrais concurrents ?

  • Comprendre pourquoi ta cible n’achète pas (ou achète ailleurs) ?

  • Évaluer le bon prix à fixer ?

  • Savoir si tu dois lancer une app ou un site ?

Une étude de marché mal cadrée ça te donne des réponses, mais elles ne veulent rien dire.

→ Maintenant l’analyse de l’environnement. C’est ici qu’on active le radar panoramique. Tu analyses :

  • Le marché global (taille, croissance, saisonnalité, volume)

  • Les tendances (innovations, signaux faibles, virages réglementaires)

  • Les barrières à l’entrée (règlementation, investissement, logistique)

  • Les facteurs d’influence : culturels, économiques, technologiques (P.E.S.T.E.L. style)

Exemple : Si tu veux lancer un produit de beauté vegan, tu dois savoir que le marché français des cosmétiques éthiques a progressé de +12 % en 2023, mais que 60 % des consommatrices interrogées ne savent pas faire la différence entre vegan, clean et bio (source : LSA/Ifop, 2024). Et ça, c’est une mine d’or de contenu à anticiper.

→ Ensuite, tu veux toucher qui ? Et plus important, qu’est-ce qui déclenche ou freine son achat ? C’est là que tu switches en mode anthropologue.

  • Sondages quantitatifs : tu veux des chiffres, des volumes, des pourcentages. Exemple “Sur 1 000 personnes interrogées, 63 % disent acheter leur café en ligne, mais 42 % trouvent l’expérience trop longue.”

  • Entretiens qualitatifs : tu veux des verbatims, des récits, de l’émotion brute. Tu poses des questions ouvertes, tu écoutes et tu creuses.

  • Tests utilisateurs /focus groupes : tu fais interagir ta cible avec ton produit ou ton idée, et tu observes tout, à savoir les gestes, les réactions, les blocages.

Et attention à la méthode ! Ne va pas demander à ta mère si elle aime ton idée. Elle t’aime toi. Elle ne te dira jamais la vérité.

Petit tips de ninja : les meilleurs insights viennent souvent de l’observation passive. Étudie les commentaires Amazon, les forums, les fils Reddit, les reviews Google. C’est de la vérité crue, non filtrée, et souvent 10 fois plus révélateur que les questionnaires.

→ Par la suite il faut scanner la concurrence. On ne te demande pas de stalker ton voisin de palier, mais de comprendre avec qui tu partages ton territoire mental.

  • Qui sont les leaders ? Pourquoi ?

  • Quels sont leurs tarifs ? Leur positionnement ? Leur ton de voix ?

  • Qu’est-ce qui agace leurs clients (lis les avis négatifs) ?

  • Qu’est-ce qu’ils font bien (sois honnête surtout) ?

Pro tip : crée un tableau comparatif UX + offre + pricing + branding. Tu verras vite qui est cohérent… et qui bluffe.

→ Maintenant il te faut identifier les opportunités. Là, tu combines tout ce que tu as vu pour cartographier :

  • Ce que les autres n’ont pas vu (niche, angle, format).

  • Ce qui n’a pas marché (et pourquoi).

  • Ce que tu peux faire de différent sans être étrange.

→ Ce que tu dois chercher concrètement :

  • Volumes de recherche Google → via Ubersuggest, Semrush, Google Trends.

  • Avis produits concurrents → Trustpilot, Amazon, Google Maps.

  • Habitudes de consommation → INSEE, Statista, études Ipsos ou BVA.

  • Forums spécialisés → Reddit, Quora, Doctissimo (oui, même lui).

  • Tendances culturelles → TikTok, Pinterest, newsletters sectorielles.

Et surtout : n’analyse pas tout seul. Croise tes sources, partage avec des personnes hors de ton cercle. Le biais de confirmation, c’est un virus redoutable.

II. Sephora au Japon : un miroir brisé sur le luxe occidental

Prenons l’exemple de Sephora au Japon (l’exemple typique en école de commerce). En 1999, la marque française décide d’exporter son modèle de boutique libre-service dans un pays où les normes sociales, les habitudes de consommation et les codes esthétiques sont à des années-lumière de l’Occident. Sur le papier, tout est bien huilé, puisque le marché asiatique explose, la classe moyenne japonaise dépense sans complexe, et les soins cosmétiques y sont omniprésents. Sauf que voilà, en 2001, après à peine deux ans d’exploitation, Sephora ferme ses sept boutiques nippones. Vous voyez venir ou pas ?

Tout ça parce que la marque n’a pas compris que le modèle “self-service + maquillage en public + contact direct avec le produit” allait à l’encontre totale des normes culturelles japonaises. C’était littéralement le combo maudit.
Là-bas, le maquillage se vend encore dans des grands magasins avec des conseillères beauté exclusives, dans une relation à mi-chemin entre le rituel et la consultation personnalisée. L’idée de se servir seule, sans miroir, au beau milieu d’un Sephora illuminé, n’était pas libératrice, elle était violente.

De plus :

  • Au Japon un parfum avec une odeur prononcée est vu comme un manque de respect.

  • Les gondoles étaient trop hautes pour les japonais(es) dont la taille moyenne est inférieure à celle en Occident.

  • Les agents de sécurité sont vus comme un manque de confiance et donc intrusif.

  • Mais surtout, les japonais(es) se parfument très peu.

Une étude Ipsos Japan en 2002 a révélé que 71 % des Japonaises préféraient une approche “réservée et guidée” dans leur parcours d’achat beauté, contre seulement 18 % en France. En négligeant ces signaux, Sephora a piétiné les codes sociaux d’un marché ultracodifié. Et donc, on obtient une sortie discrète, des millions d’euros perdus, et une leçon gravée dans le marbre.

III. Boo.com : la tech trop en avance sur les modems

Autre cas d’école, plus spectaculaire encore, aka Boo.com. Lancée en 1998 en pleine bulle internet, la start-up britannique voulait révolutionner le e-commerce de la mode. Navigation en 3D, avatars virtuels, essayage numérique... Le site se voulait futuriste, fluide, luxueux. Mais la réalité était toute autre.
Les internautes de l’époque, encore massivement connectés via des modems 56K, mettaient parfois jusqu’à 2 minutes pour charger la page d’accueil. Une hérésie UX vous en conviendrez. Et pourtant, les fondateurs n’avaient prévu aucun plan B. En 18 mois, Boo.com grille 135 millions de dollars. Fin de l’histoire. Pathétique disons-le.

Et là encore, ce n’est même pas un problème technologique, mais plutôt un aveuglement stratégique. Une simple étude de marché centrée sur l’usage internet réel des consommateurs européens et américains aurait révélé que la majorité d’entre eux n’était pas équipée pour supporter une expérience en 3D aussi lourde.
Une étude Nielsen (toujours eux, même en 1999) rapportait déjà que les internautes quittaient un site si le temps de chargement excédait 15 secondes. Chez Boo.com, il était multiplié par 8. Cette surenchère technique sans confrontation au réel aura été leur dernière innovation.

IV. Quand Pepsi ressuscite des ancêtres en Chine (non c’est pas une blague)

Il y a quelques années, Pepsi a tenté de conquérir le marché chinois avec une campagne de communication internationale traduite un peu… trop littéralement disons.
Leur slogan à l’époque, “Pepsi brings you back to life”, censé évoquer fraîcheur et énergie, a été localisé en mandarin par une agence locale sans recul culturel suffisant. Et ça a donné quoi ?
Et bien ça a donné une traduction qui disait grosso modo “Pepsi ramène vos ancêtres à la vie.” Olala désastre.

Alors oui, sur le plan de la sémantique, c’est créatif. Mais sur le plan spirituel et culturel, c’est un tollé monumental. En Chine, le rapport aux ancêtres n’est pas une anecdote. C’est sacré. On honore les morts avec des rituels précis, un respect quasi religieux, et une profonde conscience intergénérationnelle. Alors imaginer que ton arrière-grand-père puisse se pointer à table avec une canette de Pepsi, c’est non seulement absurde, mais profondément offensant.

Ce slogan, qui se voulait fun et pétillant, a déclenché un malaise culturel si grand qu’il est aujourd’hui encore cité dans les écoles de marketing comme l’une des pires traductions de slogan publicitaire jamais faites. Et tout ça pour quoi ? Pour ne pas avoir fait relire une ligne à un expert culturel. Dommage, Pepsi.

V. Nike, l’Inde, et le logo qui fait scandale

Autre cas spectaculaire, Nike en Inde. En 1997, la marque sort une série de baskets arborant un design graphique stylisé inspiré de calligraphies arabes. Jusque-là, tout va bien. SAUF qu’une partie de la population musulmane remarque très vite que l’un des motifs brodés sur la languette ressemble, de manière troublante, au mot “Allah” en arabe.

Inutile de te faire un dessin. Associer le nom de Dieu à une semelle de chaussure, c’est le genre d’erreur qui peut déclencher un incendie culturel. Et c’est exactement ce qui s’est passé. Manifestations en Inde, campagnes de boycott au Moyen-Orient, prières publiques appelant au retrait immédiat du modèle. Nike a dû présenter des excuses officielles, retirer tous les produits en circulation et revoir intégralement son processus de validation graphique.

Ce qui est fou dans ce cas, c’est qu’il ne s’agissait même pas d’une volonté délibérée de provoquer. Juste d’une absence totale de filtre culturel en amont. Pas de vérification auprès d’experts en graphisme religieux. Pas de test auprès de panels locaux. Rien. Juste une belle idée dans un bureau new-yorkais, et un tsunami géopolitique à la clé.

VI. Gerber en Afrique : le bébé sur l’étiquette, mais pas la bonne lecture

Gerber, la marque américaine de petits pots pour bébé, s’est implantée dans plusieurs pays africains sans adapter son packaging. SAUF QUE les pots arboraient le traditionnel bébé joufflu imprimé sur l’étiquette… un visuel qui a terrifié une partie du public local. Dans certaines zones où le taux d’illettrisme est élevé, il est courant que les étiquettes alimentaires montrent ce qu’il y a DANS le produit. Conclusion logique pour certains consommateurs, le pot contient de la chair de bébé. La rumeur a été suffisamment virale pour nuire à la pénétration de la marque.

Encore une fois, ce n’était pas une faute de goût, mais un défaut de décodage culturel. Et ce genre de malentendu aurait été évitable avec une enquête terrain, ou un simple test utilisateur local.

VII. Electrolux aux États-Unis : l’aspirateur qui suce trop bien

La marque suédoise Electrolux, en se lançant sur le marché américain, a traduit son slogan directement en anglais “Nothing sucks like an Electrolux.” Au sens littéral “Rien ne suce comme un Electrolux.” L’intention était de souligner la puissance d’aspiration des appareils, mais en anglais américain, le mot “suck” est surtout utilisé dans un sens péjoratif “this sucks” = c’est nul).
Le message a donc été perçu comme un aveu auto-dérisoire, voire une blague sexuelle mal placée. La campagne a été retirée dans la foulée. Dommage en vrai c’était marrant.

VIII. KFC en Chine : du bon poulet... à s’en lécher les doigts (et les os)

KFC a connu un départ difficile en Chine à cause d’une traduction (sans rire) désastreuse de son slogan culte “Finger lickin’ good”. En chinois, cela a été interprété par certains comme “Mangez vos doigts”. Autant dire que l’image mentale que cela évoque n’est pas très appétissante. Bien que la marque ait rapidement rectifié le tir et su s’implanter avec brio par la suite, ce faux départ montre bien l’importance de la précision linguistique ET culturelle dans la localisation d’une marque.

IX. Ford Pinto au Brésil : une voiture au nom embarrassant

Dans les années 1970, Ford lance la Pinto, une petite voiture économique, sur le marché brésilien. Cependant, le nom "Pinto" est une gaffe monumentale, puisqu’en argot brésilien, "pinto" désigne le pénis, et plus précisément, un petit pénis. Imaginez l'effet sur les consommateurs ! Qui voudrait acheter une voiture qui porte un tel nom ? Les ventes ont été catastrophiques, et Ford a dû rapidement rebaptiser le modèle "Corcel", qui signifie "cheval" en portugais, pour tenter de redorer son image.

X. Coors et le slogan mal traduit “Turn it loose”

La brasserie Coors a voulu exporter son slogan “Turn it loose” sur les marchés hispanophones. Malheureusement, la traduction littérale en espagnol a donné lieu à une expression signifiant "souffrir de diarrhée". Pas exactement l'image rafraîchissante qu'on souhaite associer à une bière. Cette erreur de traduction a nui à la marque, forcément.

XI. HSBC et le slogan “Assume Nothing” mal interprété

En 2009, la banque HSBC lance une campagne mondiale avec le slogan "Assume Nothing". Cependant, dans plusieurs pays non anglophones, ce slogan a été mal traduit, donnant des interprétations telles que "ne faites rien". Un message particulièrement inapproprié pour une institution financière. Cette erreur a coûté à HSBC 10 millions de dollars pour une campagne de rebranding visant à corriger le tir.

XII. IKEA en Thaïlande : des noms de produits à double sens

IKEA, célèbre pour ses noms de produits inspirés de la langue suédoise, a failli commettre une erreur en Thaïlande. Certains noms de produits, une fois translittérés en thaï, avaient des connotations sexuelles ou offensantes. Heureusement, grâce à une étude de marché approfondie, la marque a pu identifier et modifier ces noms avant le lancement, évitant ainsi un potentiel scandale.

Ces exemples illustrent combien il est essentiel de mener des études de marché rigoureuses, incluant des vérifications linguistiques et culturelles, avant de s'implanter sur un nouveau marché. Une simple erreur de traduction ou une méconnaissance des sensibilités locales peut entraîner des conséquences désastreuses pour une marque.

Notre CTA :

Table des matières
  • I. L’ÉTUDE DE MARCHÉ DANS SA GLOBALITÉ
  • A. 🎓 Définition semi-académique
  • B. ⚙️ Comment on fait une vraie étude de marché (et pas un brouillon Linkedin maquillé en insight) ?
  • II. SEPHORA AU JAPON : UN MIROIR BRISÉ SUR LE LUXE OCCIDENTAL
  • III. BOO.COM : LA TECH TROP EN AVANCE SUR LES MODEMS
  • IV. QUAND PEPSI RESSUSCITE DES ANCÊTRES EN CHINE (NON C’EST PAS UNE BLAGUE)
  • V. NIKE, L’INDE, ET LE LOGO QUI FAIT SCANDALE
  • VI. GERBER EN AFRIQUE : LE BÉBÉ SUR L’ÉTIQUETTE, MAIS PAS LA BONNE LECTURE
  • VII. ELECTROLUX AUX ÉTATS-UNIS : L’ASPIRATEUR QUI SUCE TROP BIEN
  • VIII. KFC EN CHINE : DU BON POULET... À S’EN LÉCHER LES DOIGTS (ET LES OS)
  • IX. FORD PINTO AU BRÉSIL : UNE VOITURE AU NOM EMBARRASSANT
  • X. COORS ET LE SLOGAN MAL TRADUIT “TURN IT LOOSE”
  • XI. HSBC ET LE SLOGAN “ASSUME NOTHING” MAL INTERPRÉTÉ
  • XII. IKEA EN THAÏLANDE : DES NOMS DE PRODUITS À DOUBLE SENS
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